et quoi qu'on en pense le Pape est à peu près littéralement assis dessus :
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p.1 Le Pontife Romain successeur de Saint Pierre dans sa primauté, a non seulement la primauté d'honneur, mais le pouvoir de juridiction suprême et entier sur l'Eglise Universelle, tant dans les matières qui concernent la foi et les moeurs, que dans celles qui se rapportent à la discipline et au gouvernement de l'Eglise répandue dans le monde entier.
p.2 Ce pouvoir est vraiment épiscopal, ordinaire et immédiat, s'exerçant tant sur toutes les églises et chacune d'entre elles que sur tous les pasteurs et tous les fidèles et chacun d'entre eux; ce pouvoir est indépendant de toute autorité humaine.
Sans compter mais c'est moins le sujet bien qu'illustratif, que le Premier siège n'est jugé par personne et que contre ses sentences il n'y a pas d'appel. D'aucuns trouvent cela exorbitant, surtout chez les prétendus libres-penseurs et d'autres de nos ennemis, mais c'est ainsi.
Et donc que croyez-vous ? Une pieuse union c'est même moins qu'une confrérie de pénitents du village, pour l'érection desquelles il fallait un décret formel là où l'approbation de l'Ordinaire suffisait à la création des premières. Le Pape dit "Disparaissez !" et vous disparaissez, voilà tout (oui, je schématise, mais c'est pour vous faire toucher du doigt le non-sens de votre juridisme aussi vain et creux, en l'espèce, que ridiculement pointilleux) .
Or le Pape a dit et écrit on ne sait combien de fois à Mgr. Lefebvre qui ne voulait pas y croire (ou faisait semblant peut-être, parce qu'être bouché à ce point là ... ) que la décision de supprimer sa petite pieuse union de séminaristes en formation, c'est la sienne. Le Pape a décidé, point barre. La décision, il l'a prise, la suppression, il l'a ordonnée, avec entrée en vigueur immédiate. Dixit.
Cf. références répétées, mais vous êtes un peu comme votre "maître" .
Athanasios avait
raison , votre "Eglise" est celle du papier timbré et tamponné, non de l'autorité du successeur de saint Pierre et Vicaire de notre Seigneur. Alors on multiplie les arguties et les cécités volontaires ...
Dernière intervention pour moi, je vous laisse à vos vaines chimères et aux histoires que vous vous racontez, on ne vous en sortira plus et puis tout de même il y a de bien moins douces manies que la vôtre, ce n'est pas grave.
Et qui sait si à la longue, je n'ai déjà que trop reporté, on ne pourrait pas s'imaginer que ces vieilles histoires présentent aujourd'hui pour moi ou pour notre temps un quelconque intérêt, au delà du plaisir de votre conversation, M. d'André ?