trouvent leur validité dans une forme (et une matière, et un ministre à la fois idoine, par exemple l'évêque pour l'Ordre, et ayant l'intention de faire ce que fait l'Eglise) .
Ici les ministres, les époux donc, vous le disiez justement, ne sont pas en cause. En revanche la forme de ce sacrement consiste en l'échange des consentements devant témoins et ministre ayant juridiction. Fors rares exception dans ce cas particulier, justement rappelées par Meneau.
Mais se passer de la forme d'un sacrement, l'un de ses éléments constitutifs donc, ou la modifier, ce n'est jamais très bon et jette un sérieux doute sur sa validité voire l'entraine de façon évidente (paroles de la consécration ou du baptême par exemple) .
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