Que personne ne pourra nier que cette façon de faire finit par conduire à la situation que nous connaissons.
Les papes voulurent une réforme liturgique.
Quand la réforme fut là, les personnes s'en emparèrent débordèrent les curés qui n'étaient pas plus futés que cela, et ce fut le grand n'importe quoi.
Dans les milieux tradis, l'apparence du latin resta, la forme et la méthode qui avaient donné des résultats furent maintenues, mais le cas resta marginal par rapport à l'ensemble des chrétiens recensés dans le monde.
On continua à ne pas comprendre la latin, mais pourvu que ce fut en latin.
L'enseignement se résuma au catéchisme, quelques cours de philosophie ou de théologie a grand déploiement de mots techniques, mais là aussi l'esprit de chrétienté ne fut plus.
Seules quelques âmes d'élite indépendamment du latin, et de la pauvreté aimèrent Dieu en toute simplicité et lui rendirent un culte dans le secret de leur cœur sans se soucier de la forme ordinaire, extraordinaire.
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