Sur la notion de droit à l'erreur...
Donc il semble persister pour vous un droit à l'erreur dans DH
ne citez vous pas entre autre cela comme réponse?
Et effectivement, comme vous l'ont expliqué NM et d'autres, personne n'a jamais prétendu que DH soutenait un droit moral à pratiquer une fausse religion, mais un droit à ne pas être empêché (civilement) de pratiquer une fausse religion.
Mais ce droit à ne pas être empêché (civilement) de pratiquer une religion quelconque(c'est mieux que Fausse), si je comprends bien, c'est cela l'erreur dans le droit à l'erreur? Alors il n'y aurait d'erreur à laisser un croyant pratiquer une religion quelconque de manière privé, mais dés que cela se répand dans le domaine civil, le droit à l'erreur serait l'empêchement reconnu à l'état de l'interdire?
Vous ne pouvez pas laisser une personne pratiquer sa religion et d'un autre coté l'interdire de manifester sa foi, seule ou en groupe si elle ne trouble pas l'ordre public...si vous faisiez cela, ne serait-on pas alors là dans une contrainte sur la conscience? que veut éviter DH.
Mais un état non catholique comment fait-il pour distinguer tout cela?
Vous conviendrez qu'un tel état peut-être dans l'erreur, et vous demandez à un tel état de juger de la vérité ou de la fausseté d'une religion? et pire encore vous reconnaissez des droits à cet état, en particulier celui d'interdire en dehors des troubles civils, mais d’après vous quelle sera la seule religion interdite?
Cordialement
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