a pu se faire sans que le concile ait été un accélérateur, voire un élément moteur. Je pense au cas du Québec. Je pense aussi que certaines sociétés ont été travaillé par une certaine gangrène. L'Espagne que vous citez connaissait aussi des éléments déviants que la victoire de FRANCO n'a su éliminer.
En revanche, nul n'interdit de s'interroger sur certaine politique du Saint-Siège. Mais, à mon humble avis, l'Eglise a plus été fautive parce qu'elle ne s'est pas opposée que parce qu'elle a initiée. VATICAN II, sans être illégitime ou hérétique, pourrait être interrogé sur le plan de son opportunité. La sagesse même commandait-elle un concile ? notamment à l'époque moderne ? L'Eglise est ainsi faite: prémunie de l'erreur, il n'a jamais été dit que ses choix étaient les meilleurs. Les promesses de l'Eglise sont des promesses d'indéfectibilité, non d'accroissement (à ce sujet, je recommande vivement l'ouvrage de Jean GUITTON sorti en 1959, mais malheureusement méconnu et jamais réédité).
Pour le reste, j'ai bien lu - et je relirai volontiers - les interventions que vous citez, mais elles semblent trop copié-collé par rapport aux arguments déjà entendus et opposés lors du débat sur la liberté religieuse. Je crois que la thèse de Dom VALUET n'a pas été lue, ni même survolée.
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