(Prōnūntiātus restitūtus.)
Nunc autem, ad prōnūntiātum restitūtum trānseo.
In prīmīs, amīcī quī me audītis, veniam ā vōbīs petō
propter er hoc meum :
vitiōsum est enim, neque latīnum neque italicum :
neutrī igitur prōnūntiātuī convenit,
neque ecclēsiasticō neque restitūtō.
Hoc er ūvolāre, quod vocant grammaticī,
ā mātre parvus puer didicī,
neque unquam posteā, prō dolor, prōferre dēdidicī.
Hāc quidem in rē nōn sāne imitandus sum.
Cela étant, comment traduire
ūvolāre ?
Ou, plutôt, quelle est l’étymologie de ce mot ?
Par ailleurs, bien que l’orateur, dans sa rigueur, déconseille sa
prononciation du er — que l’on trouve, pour l’italien, du côté de Parme, si je ne m’abuse —
pour ma part, je l’apprécie, et bien davantage par paresse que pour sa beauté éventuelle.
En effet, elle est plus proche du
er français et moi qui apprends l’italien,
je trouve que le roulement est difficile pour nous,
d’autant que dans l’apprentissage, il faut aussi être attentif à l’accent tonique...
De plus, on sera plus indulgent avec un locuteur qui garde un peu de son accent
s’il fait quelque faute de grammaire !