Nous parlons de doctrine.
Ceux qui n'agissent pas conformément à la doctrine qu'ils professent commettent un péché qui ne remet pas en cause la doctrine.
Cela dit, je ne suis pas certain que beaucoup à Rome étaient vraiment au courant de la réalité des dragonnades, puisque le roi lui-même l'ignorait et que c'est convaincu de la sincérité des conversions qu'il abrogea l'édit de Nantes (en réalité d'Alès). Que les intéressés y aient plaidé leur cause, c'est fort probable, mais ont-ils été crus ? Aucun document pontifical, même non infaillible, n'est venu approuver les dragonnades.