explicitement la condamnation 79 du Syllabus et plusieurs autres enseignements dogmatiques (Grégoire XVI, Pie IX, Leon XIII, Pie XI).
D' ailleurs, l' erreur n' a pas de droits, donc l' indifférentisme, que ce soit des individus ou des Etats, ne peut en aucun cas avoir la protection ou l' encouragement de l' Etat, comme le soutient DH.
Ce dont vous parlez a trait a des questions dites d' opportunité, non pas de la legalité (et il s' agit ici de la loi divine). Dans ce domaine, ce qui est admis c'est le principe du "moindre mal" qui, en fait, devrait être appellé du "bien relatif". Il tient lieu quand l' Eglise ou l' Etat catholique ne sont pas en position de pouvoir.
L' Edit de Milan en est le cas typique, du fait qu' il consacre la liberté religieuse tout en mettant fin aux persécutions des chrétiens.
Finalement, tenir compte que la contrainte sera toujours au plan publique car "on ne peut pas afficher l' erreur" (Leon XIII), jamais dans le plan privé, car cela irait à l' encontre du libre arbitre.
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