La seule objection que l'on pourrait nous faire en faveur de la désignation du NOM comme "missel voulu par Vatican II" serait que Paul VI l'a présenté de la sorte.
Dans ce cas, je voudrais seulement que l'on m'explique comment on peut réconcilier l'offertoire d'origine talmudique du NOM avec le paragraphe 23 de Sacrosanctum Concilium :
Afin que soit maintenue la saine tradition [...] pour chacune des parties de la liturgie qui sont à réviser [...] on ne fera des innovations que si l’utilité de l’Église les exige vraiment et certainement, et après s’être bien assuré que les formes nouvelles sortent des formes déjà existantes par un développement en quelque sorte organique.
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