...ça fait pousser las carottes, croyez-moi.
Et sachez que je connais intimement le NOM. Je me souviens de l'avoir vu arriver, tout gamin que j'étais. Et puis de l'avoir dégusté au moins deux fois par semaine pendant mon enfance et mon adolescence. J'en ai dégusté toutes les couleurs et tous les parfums. Outre Brompton il y avait aussi Mgr Purney, président international des pueri cantores, et le chanoine McKenna à Harrow, qui doraient la pilule de latin, de grégorien, de saine doctrine, de face-à-Dieu, de révérence. Mais dès 1979 (16 ans) j'ai compris les principes directeurs de la révolution liturgique, maintenant rendus scientifiquement indéniables par l'abbé Cekada, et pour moi, depuis ce temps, le meilleur NOM ne pouvait jamais être qu'un chien marchant sur ses pattes arrière.
Ce fut le 9 janvier 1983 que le NOM m'a vu pour la dernière fois. Oui, mon Dieu, je vous en remercie, la toute dernière fois.
L'expérience de claquer la porte sur Bugnini, toutes ses pompes et toutes ses œuvres, elle était sublime !
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !