mais personne, certainement pas moi, ne prétend d'émettre une telle décision définitive, magistérielle, infaillible, qui lierait en conscience des tierces personnes.
(J'ai parlé souvent d'une certitude morale, pas plus, pour gouverner notre conduite. Certitude morale, qui elle, une fois acquise, oblige en conscience la personne concernée. Un exemple et un autre et encore un autre d'un message à ce propos)
Ce que nous pouvons donc faire, et ce que nous devons faire, est de former notre conscience, à partir de la doctrine de l'Église, de discerner, pour parvenir, selon les moyens intellectuels de chacun (et seul Dieu en est juge), à une certitude morale concernant les imposteurs depuis 1958 (ou 1962, ou 1965 - l'incertitude demeure jusqu'à ce que le Magistère tranche), et agir en conséquence.
C'est-à-dire de nous soustraire de leur juridiction, devenue, selon saint Thomas, souvent cité ici (nihil est actum), nulle et non avenue, au moins dès que leur prévarication est publique, ce qui est le cas depuis longtemps.
C'est un grand péché de ne pas le faire, quand on a les moyens de discerner, et un pire péché de prêter une autorité à ceux dont on a compris qu'ils ne peuvent pas en avoir par leurs prévarications, et de s'y opposer sans la dénoncer comme devenue nécessairement illégitime.
Lire aussi Vianney, ici et là.
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