qu'il faut respecter pour bien resituer l'intention de l'auteur, ce qui est en cause d'abord, c'est la manière dont le pape lui-même exerce son magistère, sachant que c'est le concile Vatican Ier qui confirme de façon solennelle ce qu'il faut en retenir.
C'est ce que développe d'abord M. l'abbé Gleizes, il me semble. Certes, celui-ci ajoute d'autres éléments qui viennent étayer sa discussion sur les errances doctrinales du pape dans sa pratique du magistère ; mais comme vous vous en êtes aperçue, dans le texte de M. l'abbé, ils sont en périphérie.
Pour ma part, j'en ai tiré une réflexion sur la papolâtrerie, car je crois que c'est un aspect essentiel de cette errance, mais moins des interrogations sur ce que les traditionalistes fidèles à l'enseignement de Mgr Lefebvre pensent de Vatican II qu'ils sont censés suivre ; et d'ailleurs vous savez très bien que ce concile, à la différence, mutatis mutandis, de ce que disait Clemenceau de la révolution française, n'est pas un bloc qu'il faut accepter sauf à "mettre un voile" sur ce qui n'allait pas. Et je ne veux pas déborder là-dessus. Ce serait une autre discussion que n'aborde pas M. l'abbé.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !