de relever dans l'homélie de François, c'est l'usage du terme ''herméneutique''.
Comme vous le savez, Benoît XVI avait prôné ''l'herméneutique de continuité'' ou, plus précisément, de ''l'herméneutique de la réforme dans la continuité'', et avait mis en garde contre ''l'herméneutique de la rupture''.
Or, avec François, il est maintenant question de mettre en garde contre une ''herméneutique mondaine''.
Il y a là certainement un déplacement qu'il n'est pas anodin de noter, et il y ici matière à réfléchir et à échanger.
Quant à la question de la mondanité, je suis en principe d'accord qu'elle puisse être dénoncée; toute la tradition de l'Église met en garde contre ces trois ennemis que sont la chair, le monde et le diable. Mais la question est de savoir: qu'est-ce que François entend par ''mondanité''? Ce n'est pas encore clair pour moi.
Voilà pourquoi j'ai publié des extraits de cette homélie de François. Les éléments de cette homélie comportent des enjeux qui vont bien plus loin qu'un simple radotage.
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