Avant de confirmer sans l'accord de l'évêque, cet accord est-il toujours demandé, et refusé ?
Parce que sans ça, l'état de nécessité de confirmer sans cet accord, hein, déjà qu'il est un peu foireux pour peu que l'évêque soit réglo avec les sacrements, il tombe complètement : comment pourrait-il être nécessaire d'administrer une confirmation sans une autorisation qu'on n'a de toutes façons pas sollicitée ?
Ou bien peut-être présume-t-on l'accord, un peu témérairement je suppose, mais enfin ?
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !