Je me doute bien de l'"effet" recherché... Voir ici.
Je dis cependant que la construction argumentative comporte une faille. Pourquoi ? Parce que pour pouvoir affirmer que la doctrine n'a pas changé, les partisans de la nouvelle formulation ont joué sur l'argument conjoncturel de la prétendue absence de nécessité dorénavant de recourir à la peine de mort pour assurer la sécurité. Cf la lettre aux Évêques:
"Ceux-ci [les enseignements antérieurs du magistère], en effet, peuvent s’expliquer à la lumière de la grave responsabilité des pouvoirs publics quant à la sauvegarde du bien commun, dans un contexte social où les sanctions pénales étaient comprises de manière différente et se pratiquaient dans des conditions où il était plus difficile de garantir que le criminel ne puisse réitérer son crime".
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