L'idée de "réforme" organique ou pas entendue comme dans les années 50 et les années conciliaires a été enterrée par la radicalité de la réforme conciliaire. Ni dans le nouveau rite - sauf dans le sens d'une traditionalisation dite "réforme de la réforme" - ni dans le rite traditionnel, une évolution modernisante ou archaïsante (= revenir à un supposé Vieux Romain par delà le Haut Moyen Age) n'est plus aujourd'hui pensable.
L'adage veut que les révolutions tuent les réformes. Qu'on le regrette ou qu'on s'en réjouisse, c'est ainsi.