... par l’encyclique Pascendi, c’est essentiellement le naturalisme qui fait de Jésus un homme parfait qui se divinise par immanence vitale. C’est le fait que la foi ne soit pas révélée par un Christ vrai Dieu et vrai homme. Bref, c’est typiquement la thèse de Frédéric Lenoir dans son "Comment Jésus est devenu Dieu", magnifiquement démontée par B Sesboué dans son petit livre "Christ, Seigneur et Fils de Dieu – Libre réponse à F Lenoir".
La citation que vous nous donnez n’est absolument pas condamnée en soi. Le fait que la religion (il s’agit ici de religion, non de foi, ne confondez pas) nait d’un désir du divin ancré au plus profond de l’homme n’est pas condamné. La phrase du pape, non plus, bien au contraire.
Ion
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