A partir du moment où on ne peut forcer la conversion, il est difficile de refuser le droit d'exprimer publiquement pourquoi on refuse cette conversion.
D'ailleurs, si on veut convaincre celui qui s'y oppose, il faut bien discuter avec lui et pourquoi pas publiquement?
Celui qui est dans l'erreur de bonne foi est certainement plus proche de Dieu que celui qui ayant la foi se comporte de façon à en dégouter celui qui voudrait joindre sa communauté. Pourquoi l'un serait autorisé à exprimer ses opinions et pas l'autre?
Bref, il faut parfois tolérer un mal pour empêcher un plus grand mal ou permettre un plus grand bien.
Je suppose que c'est cette tolérance qui devient un droit civil de professer l'erreur mais je ne vois pas encore très bien comment on peut fonder ce droit sur la dignité de l'homme, droit valable partout et en tout temps, quel que soit le régime concerné.
Il y a forcément une explication...
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