Je ne vous ai pas traité de tous les noms, je n’en vois aucun.
Dire à une personne qu’elle a des œillères, c’est l’inviter, si elle le désire, à se poser la question : « si j’essayais de voir plus loin… ». Ainsi, on ne reste pas uniquement sur son avis, mais on essaye d’apprendre d’autres choses.
Je n’ai aucune insulter un prêtre, ni qui que se soit sur ce Forum. Je ne vois aucun mot d’insulte.
Des prêtres m’ont déjà demandé conseils, notamment dans le domaine de la spiritualité.
Même dans l’accompagnement spirituel, l’accompagné peut apprendre à l’accompagnateur. Ainsi, ils vont au pied de la Croix. Pas un plus haut que l’autre, pas un plus bas, non, ils cheminent ensemble, par le Saint-Esprit, là où Dieu veut qu’ils aillent.
L’âme peut donc donner des conseils à qui le Saint-Esprit lui aura inspiré, car elle sait que Dieu offre à tous des trésors différents. Aussi, parce que rien ne lui appartient, elle aura à cœur de donner aux autres ce que Dieu lui donne.
Oui, alors que j’ai répondu simplement à la question de ce fil, on est venu me dire ces critiques. Je n’avais rien demandé à personne. Cela relève d’une critique (là et ici), d’une attaque, c’est pour cela que je l’attribue sans hésitation aux techniques de Satan. J’en ai l’habitude.
Oui, nous devons faire attention aux personnes à qui nous nous adressons. Certaines sont plus fragiles que d’autres, aussi, nous devons prendre certaines dispositions avec sagesse, sans oublier la charité qui doit être première en tout (Lectures de ce dimanche passé).
Le fait d’employer le mot « pipi », cela m’était attribué afin que l’on se moque de moi. Estimez-vous encore heureux que j’aie employé le mot vêtement, sans donner le nom exact de celui qui aurait dû être attribué dans ma phrase. Là encore, la sagesse en mon cœur était prioritaire afin de prendre soin de ceux qui poserait leurs yeux sur ce message.
C’est je vous couvre de rien du tout, vous acharnant à m’écrire, alors qu’à la base j’offrais une phrase qui m’avait été dite par un pieux prêtre, et théologien, concernant Vatican II, le Saint-Esprit…
Un jour, une âme avoue à son accompagnateur spirituel qu’en récitant son chapelet, une envie folle de se flageller s’était présentée à elle. Il lui avait alors dit de faire attention parce que cela pouvait être de l’orgueil.
Peu de temps après, l’âme lit la vie de Saint Benoît, notamment le jour où il s’est jeté volontairement dans des épines afin de ne pas succomber à une tentation de la chair.
Suite à ces deux histoires, l’âme qui n’est plus dans l’émotivité, le sensible… comprend la différence des deux, puisque Dieu lui a déjà fait la grâce de le comprendre, parce qu’elle le vit.
Dieu sait comment j’estime ses créatures, notamment ses Christs (Paroles de DIeu le Père à Sainte Catherine de Sienne "Réforme des Pasteurs") personne d’autre mieux que Lui.
Fraternellement
Véronique