A la perversité, ni le laisser aller général, ni la perte de la pratique, ni la crise d'autorité.
Tout comme il n'y a aucune excuse au laisser-faire la perversité et autres complicités actives ou passives.
Ni pour les clercs, ni pour les membres d'autres institutions - car les responsabilités "systémiques" et "institutionnelles" ne sont pas que celles de l'Eglise et certains pervers ont pu agir longtemps - ou le peuvent encore - parce que la justice notamment (celle des hommes) a tardé à se réveiller, ou trouvé que les victimes étaient des gens de peu (enfants placés, orphelins, voyageurs, étrangers ou migrants) dont on n'avait pas besoin de faire grand cas.
Ou que le pervers (ou son protecteur) pouvait faire jouer d'autres liens (amitiés, fraternité d'arme ou autre), parfois les mêmes penchants, plus vraiment prohibés.
Je parle des clercs et d'autres.
Mais je trouve très curieux dans la bouche de certains clercs ici des arguments qui tendent à défendre les voleurs, car il y a tellement de vols, qu'on ne peut pas tous les poursuivre, qu'à un moment on a pu défendre voire encourager le vol comme un mécanisme de redistribution du capital, donc presque vertueux, et que beaucoup ont fermé les yeux sur les vols, même quand ils étaient les victimes, du coup c'est normal que tout est à tous et que les limites de la propriété privée sont fréquemment franchies.
Oui, j'ai enlevé une lettre à l'infraction, tout de suite l'absurde de certaines argumentations de l'excuse saute aux yeux.
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