J'ai lu avec attention ce long post extrêmement intéressant et plein d'enseignement. Toutefois, j'ai une ou deux interrogations qui me restent auxquelles les très savants intervenants du forum pourront sans doute répondre, mais, s'il vous plait, en un langage compréhensible par le vulgum pecus auquel j'appartiens.
Notre Seigneur semble excuser Moïse d'autoriser la répudiation contre un simple billet, à cause de la "dureté de vos coeurs". Par contre, cela n'aurait plus lieu d'exister. Les coeurs actuels ne seraient-ils pas aussi durs (si ce n'est plus) que du temps de Moïse?
Ensuite, il semble bien que ce privilège ne soit accordé qu'à l'époux. Qu'en est-il de l'épouse bafouée, peut-être même battue, dont le coeur est généralement moins dur que celui de l'époux?
Il est dit que "la séparation de corps est permise", mais pas semble-t-il, le divorce bien que ce ne soit qu'une procédure administrative et judiciaire constatant ou consommant la rupture du mariage civil, formalité souvent obligatoire avant le mariage religieux (qui est seul sacrement) et auquel l'Eglise ne reconnait aucun droit. Or ce divorce est souvent nécessaire pour la protection de la partie lésée (généralement la femme), la sauvegarde de ses biens et l'entretien de ses enfants. Pourtant de nombreux ecclésiastiques stigmatisent la personne divorcée, encore que non remariée (civilement, s'entend) comme si elle était également fautive. Pourquoi?
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