et même si ce n'est pas exactement similaire il me semble qu'au cours des âges et pour d'autres sacrements l'Eglise a sinon modifié du moins précisé ou hélas assoupli quelques points, et même accepté comme valide une bizarrerie.
Par exemple touchant à la matière de la confirmation, on est passé de l'huile d'olive à l'huile tout court.
Que la transmission du sacrement de l'Ordre a fluctué entre porrection des instruments et imposition des mains, si je ne m'abuse ?
Que l'anaphore dite d'Addaï et Mari ne comporte pas le récit de l'Institution.
Mais passons. Sur le fond il me semble à moi que le distinguo que vous faites entre forme sacramentelle et forme canonique n'opère pas ici. Ou bien avez-vous quelque exemple pour un autre sacrement d'une forme purement canonique qui serait nécessaire à la validité, puisque pour le mariage "seuls sont valides etc. " (fors les deux exception expressément prévues) ?
Ou autrement dit, en dehors d'un défaut de forme, de matière ou touchant au ministre, qu'est-ce qui pourrait déterminer ou entacher la validité ?
Pour ma part je ne vois pas.
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