Bonjour et bon dimanche, Jean-Paul PARFU,
Vous rappelez que le modernisme, ou plutôt, du reste, le néo-modernisme, "a triomphé avec le Concile Vatican II", et que ce sont des néo-modernistes "qui occupent les places de direction dans l'Eglise", mais les clercs diocésains qui sont nés après 1960 en ont-ils tous bien conscience ?
D'une part, ces clercs n'ont pas de connaissances personnelles, ni de souvenirs personnels, sur ce qu'a été le catholicisme ante-conciliaire.
D'autre part, les mêmes clercs
- ne connaissent souvent qu'une seule chose : l'idéologie du dialogue, si bien qu'ils croient que c'est une vision des choses naturelle, dans l'Eglise, et ne savent pas que c'est une idéologie,
ou
- ne connaissent souvent qu'une seule autre chose : la novlangue post-conciliaire, si bien qu'ils croient que c'est le langage habituel de l'Eglise, et ne savent pas que c'est une novlangue.
Merci beaucoup de me dire ce que vous en pensez, étant précisé que j'ai bien conscience du fait que ce dont il est question ici a été sûrement plus particulièrement vrai en France, à cause de la réception "à la française" du Concile, et est peut-être moins vrai, depuis les débuts de l'effet de contraste entre la vision des choses la plus objectivement attribuable à François et celle la plus impartialement attribuable à Benoît XVI.
Bonne journée.
Scrutator.
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