C'est un peu comme le terme de "mariage pour tous". On galvaude un mot pour mieux servir sa pensée.
Oh, bien sur, vous allez me dire que c'est une façon de parler, pour caricaturer...mais quand même, c'est bien facile. Il suffit de lancer ce mot, "papolatre", pour qu'ipso facto l'ensemble du propos cité soit ravalé au rang de bouillie bien-pensante et "cul-cul-la-praline".
Je crois que dans toute situation on peut avoir plusieurs attitudes, et deux principales :
- ou bien l'on cherche à être positif, et à voir ce que la situation peut avoir de bien,
- ou bien l'on cherche à tout prix à démontrer que la situation est catastrophique, cataclysmique, et que vraiment c'est la pire des choses qui pouvait arriver.
Votre "papolatre" a été bercé dans son enfance par le second courant, qui voulait réduire en permanence les gestes du Pape à des erreurs, quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse, ou presque. Et votre "papolatre" en a eu marre, et a essayé de voir les choses autrement.
D'où ce texte qui se veut simplement compréhensif. Et bien sur, si le 27 février, le Pape annonce qu'il reste, votre "papolatre" cherchera encore a y voir quelque chose de positif...
Quand au style, franchement, il importe peu.
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