Le langage oecuménique volontairement ambigu est exsécrable, un péché contre l'Esprit-Saint;
C'est pourquoi M. l'abbé Laguérie est très clair:
Puisqu’il s’agit du droit liturgique universel en vigueur, l’IBP atteste la validité théologique et la légitimité canonique des célébrations de la messe et des sacrements dans la "forme ordinaire", conformément à ce paragraphe 19.
Il n'y a pas alors d'ambiguité sur le sens de la légitimité. La loi permettant le Novus Ordo Missae, existe-t-elle ou n'existe-t-elle pas?
Notons aussi que le sens où M. l'abbé Laguérie emploie le mot "légitimité" est bien plus attesté (le premier qui a dérivé historiquement, par extension, de la notion d'enfant légitime, à toute notion juridique; bien avant que n'apparaisse ce sens populaire où l'on dit "légitime" ce qui est entièrement bon, comme lorsqu'on dit que quelqu'un qui a beaucoup travaillé a droit à un repos bien légitime...)
Je suis le premier à regretter l'ambiguité du terme de "légitimité". toutefois, on ne peut pas empêcher notre bonne vieille langue française d'avoir, dans ses charmes, des replis qui nous poussent à réfléchir avec raison sur le bon sens du mot.
Puis redisons donc, encore une fois, qu'une légitimité bien entendue, n'empêche pas une critique... constructive...
Alors que, dans le fond, ils s'aiment...
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