Ce que vous dites semble rejoindre ce que je disais au sujet de la légitimité de la nouvelle messe...
A partir du moment ou l'on reconnait la légitimité de la nouvelle messe, alors on accepte d'y assister et même de la célébrer.
Si la nouvelle messe est légitime alors elle peut être légitimement célébrée et il devient inévitablement légitime de le faire.
D'où la pirouette de l'IBP : la seule chose qui la préserve de célébrer cette nouvelle messe, vu qu'ils en ont reconnu sa légitimité, c'est leur "charisme propre" inscrite dans les statuts. Sinon sur le principe ils acceptent qu'elle puisse être de la célébrée ou concélébrée.
Cette histoire de légitimité de la nouvelle messe a vraiment été un terrible renoncement, et le doigt dans un engrenage dangereux.
Exemple : si un prêtre ou plusieurs font pression pour célébrer la nouvelle messe (ce que je ne souhaite pas mais qui arrivera inévitablement, comme celà s'est produit avec la FSSP)), que se passera t-il ? Il sera d'hors-et-déjà établi qu'il est légitime de le faire, et le statut de l'IBP deviendra LE problème... car s'opposant au principe de "légitimité". Que dira Rome ? Que dit le droit canon ?Est il légitime que les statuts d'un institut puissent interdire ce qui est légitime ?
D'ailleurs qu'en est il des concélébrations comme celles imposées dans les paroisses pendant la semaine sainte ? Est ce que le statut les protège aussi de ces concélébrations ?
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