au sens littéral.

Quand je lis, je crois comprendre A puis "non A" puis vous concluez sur un retour à A.

Bref une affirmation, l'Église en général sous ses différentes manifestations, n'est responsable de rien : au plan spirituel de l'Église une sainte, catholique, apostolique et romaine je comprends et je suis pleinement d'accord.

Mais l'abbé de la FSSPX de Vendée, le cardinal Becciu, Mgr Pican, le Père Thomas Philippe, l'autre abbé fsspx ayant longtemps sévi aux USA dont Church Militant a établi le portrait criminel avec force témoignages et éléments de preuve, monsieur McCarrick, la liste est si longue et on pourrait y inclure des laïcs en mission ecclésiale... sont-ils "l'Église" en ce sens spirituel ?

Ils participent à sa hiérarchie au sens large et sociologique sans se confondre avec "l'Église" que ce soit l'Arche, les Petits gris, les Légionnaires du Christ, la FSSPX, une paroisse, un évêque, un cardinal, un préfet de dicastère bras droit ou gauche du pape ou tel catéchiste laïc.

Nous savons ce que le Christ dit de ceux qui scandalisent les enfants en général : NSJC n'en exempte personne et les représentations médiévales étaient crues à l'égard des clercs et des princes/aristocrates coupables de réduire l'Église sainte en Babylone. Les dénonciations y étaient vigoureuses, publiques, en art, peintes aux murs des églises et monastères, étalées au grand jour dans la culture, dans les prêches, dans les paroles pontificales d'un Adrien VI par exemple.
Je pense que vous mixez l'aspect humain peccamineux et l'aspect surnaturel dont l'Église est investie: au passage la FSSPX fait bien partie de "l'Église" aux yeux de Rome et en continu. Elle n'est pas en pleine communion mais son sort a toujours été considéré officiellement comme une affaire interne de "l'Église".

Ensuite vous dîtes que la position est "bienvenue". Vous saluez ce que vous critiquiez initialement. Là je me retrouve davantage car j'ai toujours pensé qu'il faut dénoncer, dans le respect de la procédure et de la présomption d'innocence si des preuves/témoignages crédibles n'existent pas. Je note comme vous la dimension "globale" du phénomène : global au sens français, couvrant de multiples domaines et pas que l'Église catholique ou les autres confessions chrétiennes ou les autres religions (ex. les horreurs dénoncées parmi les communautés ultra-orthodoxes en Israël) ; "global" au sens anglais de mondial : les USA, la toile perverse du réseau Epstein-Maxwell (cette dernière dotée d'un passeport français), les insondables scandales d'Hollywood et des "Tech Tyrants", la stupéfiante transformation du Parti démocrate américain en mouvement diabolique opposé à la Bible, l'effroyable "plandémie" qui se déploie sans honte, au vu et au su de tous, à propos du coronavirus/covid-19.
Le Malin est à l'oeuvre dans l'Église et dans nos sociétés et d'une manière rarement vue à ce jour. Sur tout cela, je vous suis intégralement.


Vous revenez ensuite à l'affirmation A de protéger l'anonymat et de couvrir les crimes des "prédateurs". "Vous comprendrez pourquoi faire de la publicité est nuisible." (Eonix).

Dénoncer les crimes et les criminels est donc "nuisible" ?
Je ne suis pas la logique de votre raisonnement A - non A - retour à A. Et vous le savez je suis en radicale opposition à votre conclusion.

Merci de m'éclairer si j'ai mal compris votre analyse et comment vous concluez que couvrir les prédateurs de tout type est l'attitude la plus évangélique et morale sachant que sans "publicité" tous les prédateurs continueraient leurs méfaits sans vergogne et que seule la "publicité" - dénonciation publique ici - a permis un semblant de justice humaine d'opérer, très partiellement. Là comme expliqué dans le dialogue avec Fils du vent, je ne vous suis plus du tout.

Comme rappelé à Fils du vent, la sagesse populaire ancestrale proclame : "qui ne dit mot consent". Oui "la France" porte une part de responsabilité quand elle - son peuple - consent et ainsi couvre les crimes de ses dirigeants. Cela vaut pour les sociétés autant que pour l'Église.

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