n'est presque jamais j'applique une recette pour être tranquillement cadré. Cela est "machinal" comme un robot.
Agir, c'est d'abord voir/entendre/sentir/toucher/goûter, puis avoir une intention, ne serait-ce que celle de répondre à une demande de service.
L'intuition, c'est l'étincelle, la lueur, qui indique l'entrée d'un chemin possible, qui a flashé sur la perspective d'aller au but en prenant la direction.
L'expérience, n'est-ce pas la somme d'actes qui finit par valider la perspicacité ?
Celui qui applique la recette, sans jamais regarder la conformité du résultat avec son espérance, avec son attente n'est-il pas malhonnête avec son propre esprit ?
Celui qui ne change jamais de cap en observant qu'il n'obtient pas de bien n'est-il pas dangereux ? nocif ?
"Primum non nocere !"
Qui l'applique comme première condition ?
Qui l'enseigne encore comme premier art du soignant ?
Merci de votre réponse.
Glycéra
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