Voilà mon propos.
J'ai eu de même la douleur de voir des proches dépérir, empoisonné par des molécules prises des décennies durant.
Aveu d'un des médecins : si j'avais su, si j'avais vu, je me serais décidé à prescrire autrement.
Aveu d'un autre : oui, vous avez raison sur ce fait, sur ce produit, mais je suis près de la retraite, et je n'ai pas envie de changer, trop long d'apprendre autrement .
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Alors ?
Votre question ?
Et si, justement cela faisait des décennies qu'on empêche les médecins de faire confiance à leur intuition ?
Ou même de penser qu'elle est là, et qu'elle est destinée à être employée ?
Un vétérinaire apprend à doser selon la bestiole. Un médecin donne des doses identiques, sauf parfois aux enfants ou à des trisomiques qui réagissent trop fort aux même doses. Pourquoi cette uniformité ?
Pourquoi les préparations individualisées ont-elles disparues ? Parce que les médecins n'apprennent pas autre chose que l'uniformité, la non-palpation, la défiance à la "singularité" mal vue des pontes ! (sauf quelques courageux, conspués du grand nombre de leurs pairs)
La même raison : où est la liberté de soigner ?
Où est la vraie connaissance ?
Est-ce que cela ne vous rappelle pas la liberté de communier à la langue ?
C'est là ce que je réclame ...
Glycéra
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