me semble en effet judicieux pour éclairer.
Rien de fondamental ne peut se résoudre en quantité.
Ni l'avortement, ni rien d'autre du genre "mais tout le monde" ou "mais trop nombreux c'est plus grave".
Tuer un seul (Jésus) est plus grave que massacrer l'humanité entière.
En plus :
- Dire que, parce que Jésus n'a pas contesté la décision de Pilate, il approuve et recommande la peine de mort est aussi faible que de dire qu'il admet les trahisons, puisqu'il a laissé Judas faire, et l'a même pressé "ce que tu as à faire, fais le vite !"
- Mettre une camisole physique, chimique , chirurgicale, électronique ou autre est un rabaissement, une négation de la liberté que Dieu a intrinsèquement mise en chaque homme.
- Discuter de la licéité, de la justesse, ou de la beauté de la peine capitale ou de toute autres qui aliène un homme est-il dans les missions de ceux qui ne sont pas chargés de la "justice" temporelle, tâche pénible, lourde, qui demande une assistance, un soutien intérieur spirituel spécial : c'est un service temporel à la société et tout le monde n'y est pas appelé.
- Dieu seul sait qui et comment chacun arrivé au moment de son entrée dans l'autre vie. Oeil pour oeil, dent pour dent, dit le Tallion, mais pourquoi ? Dieu dit "Parce que tu es un peuple au coeur dur et à la nuque raide, qui veut une mâchoire pour une dent, je donne cette loi !" Jésus l’appliqua-t-il, lui qui fut tué ? Dieu l'appliqua-t-il lui qui la subit ? Qui sait le meilleur moment pour un autre d'aller "ad Patrem ?"
- Protéger les futures, très probables, victimes de brigands, est autre chose que de "faire payer" les vieux crimes passés, fussent-ils goulagiens !
Quand on décide de classer le monde en deux clans : les pro-et les anti-, quoique ce soit, on fait le jeu dicté par Satan, le grand Diviseur (étymologie de Dia-Bolos)
Avec mes estivales salutations
Glycéra
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