que communier ne relevait pas de la magie et que la communion n'agit pas comme un médicament.
En outre, le problème n'est pas d'abord de lutter contre ce que vous appelez la "concupiscence", mais d'aimer Dieu ! Ce que vous appelez la concupiscence, c'est simplement l'instinct sexuel contre lequel vous ne pouvez pas lutter. Si vous "brûlez" comme le dit St Paul, mariez-vous !
Pour le reste, il ne faut simplement pas tomber dans le vice qui peut vous avilir et avilir les autres.
En fait, comme vous ne cessiez de penser à la communion comme médicament contre vos humeurs, vous vous fixiez sur le problème qui ne faisait que grandir. Lorsque vous vous êtes un peu détaché de votre "superstition", avez moins communié pour de mauvaises raisons, vous vous êtes un peu "calmé" et le problème s'est apaisé.
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