Cas pratique, arrivant dans une famille bien comme il faut, où toute l'ancienne génération (les plus de 40 ans), "cathos" diocésains, est quasi toute membre des Equipes Notre-Dame, tandis que les plus jeunes ne pratiquent plus, ou alors pour les grandes occasions, ou, pour les rares pratiquants, sont très relativistes, les plus âgés trouvant formidable la tolérance que ces derniers ont par ailleurs en matière religieuse, et l'humanité dont ils font preuve en tout : "une telle, qui voulait avorter, n'avait pas de voiture ? Que c'est beau, ils l'ont amenée jusqu'à l'avortoir, tout gentils qu'ils sont" (je caricature à peine...)
Une bientôt trentenaire annonce à une réunion familiale, sans en avoir parlé à ses parents avant, officiellement qu'elle fréquente quelqu'un.
A quoi va donc ressembler le prince charmant ?
Laissons de côté le fait qu'il a 13 ans de plus, pour nous focaliser sur le point qu'il est en instance de divorce avec sa femme : éclats de joie que la petite ait enfin trouvé l'âme sœur, qu'il soit marié ne gênant personne, vu qu'il se sépare de sa femme car ils n'ont pas réussi à avoir d'enfant. Réaction étrange de la part de catholiques, mais passons.
La question est la suivante :
La belle, en plus d'être apostate (dans ce qu'elle pense et dans ses actes, même si c'est sans coup d'éclat), semble être dans une relation adultère, au regard traditionnel de l'Eglise, mais est-ce vraiment le cas ?
Ce mariage du monsieur est-il considéré comme valide, d'un point de vue catholique ?
Lui-même apparemment n'est marié que civilement, n'ayant pas été baptisé.
Est-il possible que les deux, une fois le divorce civil prononcé, se marient à l'Eglise, pour faire plaisir aux parents de madame ?
Merci d'avance à ceux qui pourront apporter une réponse claire, ante "Amoris Laetitia", et bonne journée à tous.
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D'avance, merci !