Il suffit de regarder la pratique de nos bonnes vieilles cours princières pour constater que la pratique ne date pas d'hier.
Il est cependant probable que ce luxe de faire tomber son mariage pour une lointaine parenté (autrefois), un défaut de juridiction ou encore un manque de maturité (plus à la mode de nos jours) se soit démocratisé. Un historien des procédures canoniques pourrait répondre à cela, chiffres à l'appui.
De fait, il concerne de nouveau une certaine "élite" : celle de ceux pour qui être religieusement marié à la personne qui partage leur vie a encore une importance.
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