Il est fort possible que, comme j'écris parfois mal, je lis mal de temps en temps aussi, m'exprimant dans ce forum, pour rappel, dans ma quatrième langue.
Mais en l'occurrence je ne crois pas qu'il en soit ainsi, que je vous aie mal lu. Je ne serais d'ailleurs pas le seul, et vos autres interlocuteurs, qui vous liraient mal aussi, sont français.
Je crois plutôt que votre tendance à faire des affirmations péremptoires vous rend parfois aveugle pour vos propres contradictions.
Vous écriviez ICI
On ne peut pas comprendre les faiblesses du rite de 1962 si on ne comprend pas que ce décalage, cette rupture interne au rite [le "fossé" qui existerait entre le célébrant et les fidèles] est un fruit de la grande rupture moderne qui a eut lieu au cours de la soi-disante "Renaissance", qui amorça un lent mais régulier processus de détraditionnalisation de la liturgie, c'est à dire en réalité de dé-liturgisation de la messe, provoquant ainsi un affaiblissement considérable et sur le très long terme de la foi catholique... débouchant, in fine, sur la situation dans laquelle nous sommes plongés actuellement.
et
ICILa liturgie est un tout cohérent construit par les siècles sous l'inspiration de l'Esprit-Saint, elle possède une cohérence interne appuyée sur la plus haute et la plus ancienne théologie, elle plonge ses racines dans l'Ecriture sainte; c'est pour cela qu'elle fait partie de la Tradition, et, à ce titre, de la Révélation même.
Votre deuxième affirmation est fondamentalement correcte, mais elle contredit votre première affirmation.
Et votre première affirmation se rapproche dangereusement de l'hérésie, telle qu'elle est condamnée par le magistère en 1794 (première thèse condamnée du synode de Pistoie,
ICI et
le texte latin).
Je vous invite à la prudence.
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