Bonsoir Christiank,
Lisez ou relisez, notamment, le Journal du Concile d'Henri Fesquet.
Vous comprendrez encore mieux quel est le contenu de la dimension onirique du Concile Vatican II.
Quel évêque d'aujourd'hui peut dire qu'il est en mesure d'être et de rester, sans conséquences dommageables, l'un des continuateurs, certes indirects, des évêques qui, pendant quatre automnes consécutifs, ont rêvé entre eux, en vue du dépassement ou de la destitution du catholicisme d'hier et en vue de l'engendrement ou de l'instauration du catholicisme de demain ?
Certains ont déjà eu l'occasion de faire remarquer que le Concile Vatican II a été le Concile des Trente glorieuses, non seulement pour des raisons chronologiques, mais aussi pour des raisons axiologiques et psychologiques.
Une fois que l'on a compris cela, pourquoi et comment ne pas analyser avec sévérité le fait que des clercs, aujourd'hui encore, persistent à refuser que les fidèles sortent enfin de la chapelle Sixties qu'est l'Eglise du Concile, le processus synodal étant, sous cet angle, une formidable tentative d'actualisation d'un véritable fantasme collectif ?
Bonne soirée.
Scrutator.
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