Je ne connais malheureusement pas bien « toutes ces rues », en tout cas infiniment moins que je ne le souhaiterais.
Il se trouve en fait très simplement que j’étais à Rome il y a un mois (à quelques jours près).
Et que je me suis fait la même réflexion que vous devant cet écu.
Je dois dire que je me suis presque totalement reconnu dans le message que vous écrivîtes à votre retour d’Italie, notamment en ce qui concerne cet écu que vous évoquez à nouveau, ou votre sentiment de malaise devant celui de la Trinité des Monts. Mais même au-delà, sur les sentiments partagés que vous éprouviez après votre séjour romain.
Pour la petite anecdote, j’ai également pensé à vous lorsque, après avoir visité avec lui le Baptistère du Latran, j’écoutais un « spécialiste » (en tout cas quelqu’un ayant quelques connaissances et expérience justifiant ce qualificatif de ma part) de la période - avec toutes les réserves que l’on doive poser sur ce terme - décrire sur le parvis de la Basilique comment, parce que c’était le lieu de la caserne des cavaliers, qui s’étaient ralliés à Maxence, Constantin avait offert, entre autres, le Latran au Pape ; pensant (un peu) à vous, je lui demandais ingénument si cela était totalement avéré, ce à quoi il répondit clairement par l’affirmative, tout en expliquant que furent par la suite revendiquées tout un tas de donations plus ou moins fantaisistes (étant entendu, c’est moi qui ajoute cette précision, qu’on ne parlait pas alors de ce qu’on entend habituellement par la « Donation de Constantin ».) Mais cela m’a fait néanmoins sourire.
Jérusalem
- Qui ne pense pas vous avoir un jour applaudi, au moins dans la « vraie vie », et qui n’a aucune raison d’être connu de vous. Mais qui ne refuserait pas le Bourgueil.
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