dans le Magnificat.
Le texte de s. Luc (I, 46-55) chanté quotidiennement aux vêpres dans les rits "romains" est celui de la Vulgate clémentine.
Dans le rit gothique (hispanique ou mozarabe) le Magnificat n'est chanté qu'une seule fois dans l'année, aux laudes du jour de Noël. C'est le même texte.
Le Bréviaire ambrosien (éditon 1513 et éditions modernes) placent le magnificat au centre et non à la fin de l'office de vêpres, et chaque jour, sauf les vendredis de carème et le vendredi-saint.
Le texte ambrosien présente quelques variantes :
(texte de l'édition 1513) :
" Et misericordia ejus a seculo, et in seculis super timentes eum".
" Fecit potentiam in brachio suo, dissipavit superbos mentis cordis eorum".
" Esurientes satiavit bonis, et divites dimisit inanes".
" Suscepit Israel puerum suum, memor misericordie sue".
" Sicut locutus est ad patres nostros, Abraam et semini ejus usque in eternum".
Ces différences n'affectent pas le sens général du cantique.
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