essayons de voir le fond des choses.

La peine de mort n'est pas contestée par l'Eglise. Même si elle est le chatîment qui arrive en dernier ressort et dans des cas ultimes parce que seul Dieu devrait pouvoir ôter la vie aux autres hommes, il n'en reste pas moins que Saint Thomas d'Aquin précise bien avec justesse que cette peine est légitime pour établir l'ordre dans la société.

François part du principe que la conscience humaine des chrétiens a changé et qu'on doit abolir cette peine qui ne servirait plus à rien, relique barbare de temps anciens…

Mais…

C'est faire fi du reste du monde dans ce cas-là. Si l'on devait prendre un exemple concret sur la réalité des choses en ce qui concerne le retour à une plus grande barbarie, il suffit de considérer le développement et l'essor de Daech sur les terres africaines…

François s'adresse et n'est entendu que dans les sociétés Occidentales dans ce genre de propos. En faisant pression pour éliminer un moyen de gradation de la Justice humaine PERMETTANT d'établir l'ordre dans la société, il affaiblit considérablement la Justice dans ces sociétés. D'où la déconsidération profonde actuelle de celle dernière dans nos sociétés. D'où le désordre latent qui s'installe progressivement depuis quelques décennies. D'où la progression de la chienlit et son sentiment d'impunité.

En conséquence, François, par ses propos inconséquents, est une cause de subversion de nos sociétés dans lesquelles la Justice n'a plus que très peu de sens parmi les barbares qui se sont installés en masse.. du fait aussi encore une fois de plus de ses appels répétés à l'accueil des migrants à n'importe quel prix.

Vous voyez comme tout est lié...

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