Vous disiez:
Un cardinal Wuerl peut faire illusion par sa grande classe. Un cardinal Maradiaga ne peut inspirer que la plus profonde consternation à chacune de ses interventions.
J'ai compris, comme d'autres liseurs manifestement, que pour vous le cardinal Maradiaga est profondément consternant, au contraire du cardinal Wuerl, même si ledit cardinal Wuerl n'est peut-être pas aussi profond qu'il en a l'air.
Votre nouveau message sur le cardinal Wuerl :
qu'extérieurement, il présente bien, s'exprime bien, a l'allure d'un prince de l'Eglise à défaut d'en avoir la stature, la doctrine et les vertus.
est plus clair, mais il semble que vous ne connaissiez pas du tout l'énormité de ce qui est reproché au cardinal Wuerl, bien au delà d'un manque de stature ou de profondeur de doctrine : peut-être pourriez-vous lire les posts de Luc Perrin à ce sujet, en utilisant la fonction rechercher, avec le nom de l'auteur du post et comme mot-clé Wuerl...
Evidemment, ce qui arrive est de l'ordre de l'impensable : ce n'est pas un seul prince de l'Eglise, mais beaucoup, qui sont impliqués dans des affaires sordides et, malheureusement, très étayées.
Au vu des charges terribles qui pèsent sur le cardinal Wuerl, que le procureur de Pennsylvanie a accusé de mentir, on ne peut pas utiliser l'euphémisme: "il n'a pas les vertus que l'on attend d'un prince de l'Eglise". On en est à un tel degré de scandale qu'il faut nommer les choses et crever l'abcès me semble-t-il...