le concept de moindre mal n'a pas cours ici et ce n'est d'ailleurs pas l'argument invoqué par AL. Au contraire, on parle plutôt de mal amoindri, voire nié : "il n'est plus possible de parler de péché mortel". Ce qui est probablement vrai au début du fait de l'ignorance mais ne peut plus l'être après un parcours.
Quant au discernement du prêtre, ce que vous écrivez était déjà le cas avant... Mais je vous rejoins sur le fait que l'on théorise l'exception au risque de généraliser le cas particulier.
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