Ce n’est pas "divorcer" au nouveau, mais (au moins vouloir) mettre fin à l’injustice de l’adultère.
Votre situation est comparable à une prise d’otage : faut-il céder à tout prix aux conditions des preneurs d’otage ?
J’excuse volontiers, dans un autre registre, des apostats qui ont subi des menaces, pourtant l’attitude morale n’est pas d’apostasier.
Je ne conseille rien, je constate. Quel mal est-il loisible de faire pour défendre ses enfants ? Ou placer le curseur ?
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