Sieur Torrentiel,
Il me semble que la lecture que vous présentez est bien solide.
Pour ce qui est du modèle des actes, je vous rejoins aussi. Ce n'est pas l'acte qui compte, c'est sa correspondance avec la demande de Dieu.
Les hommes jugent mal.
Dans l'Evangile, Jésus s'en plaint : il reste avec sa mère, c'est qu'il cache ses sons, en planqué qui refuse d'aider ses frères... il part, et la laisse seule, c'est qu'il n'est qu'un aventurier ingrat, refusant d'assurer les finances de sa mère...
Si on a médit ainsi des actes de Jésus, qui guérit trop, qui ne guérit pas assez, qui parle par reproches véhéments ou qui se tait sans armer son équipe pour le défendre..., que ne devrait-on faire avec nosu qui sommes bien gauches.
La bienveillance ?
Admirer la capacité souriante du Pape, malgré toutes ses difficultés de santé...
L'un des Papes aurait fait voeu, après son attentat, de ne jamais renoncer et s'est offert en spectacle souffrant et incapable quelque peu, laissant de fait le travail au cardinal adjoint.
L'autre qui a assumé la charge avec la classe qu'on lui a vu, choisi la dignité inverse, et réserve ses forces pour prier et prier encore plus...
Que de parlottes sans savoir !
Je suis honteuse du manque de tenue de tant de chrétiens.
Prudence...
C'est la vertu de la hauteur de vue...
Indispensable en ce moment, et surtout assaisonnée de confiance et de supplications à Dieu.
Merci de votre analyse.
Je vais y repenser.
Avec mes bonnes salutations
Glycéra
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