Bonjour Justin Petipeu,
Grâce à François, depuis mars 2013, plus aucun catholique plus ou moins informé ne peut dire qu'il est impossible de savoir ce que cela donne, quand un rupturiste qui s'affiche et s'assume en tant que tel dispose du pouvoir suprême et exerce ce pouvoir suprême.
Le désordre a commencé à se concrétiser bien avant son élection, de même qu'au moins une mouvance ou tendance schismatique, comme celle qui se manifeste au moins depuis la déclaration de Cologne de janvier 1989.
Mais voici le fait nouveau, depuis bientôt dix ans : un homme d'Eglise qui, vraisemblablement, N'AIME PAS les catholiques qui aiment les fondamentaux du catholicisme, est pape, et les conciliaires conservateurs ne semblent vraiment pas capables ou désireux de contrecarrer ses enseignements ou son gouvernement, alors qu'il aurait été tout à fait possible de commencer à le faire dès l'automne 2013, au contact de la première exhortation apostolique de François, au moyen d'une prise de position qui aurait pu être à la fois très respectueuse à l'égard du pape François, en tant que pape et en tant que personne, et très indépendante vis-à-vis du bergoglionisme, qui est un état d'esprit presque insusceptible de contribuer à la consolidation de la préservation et de la propagation de la foi catholique.
On est d'ailleurs en droit de se demander si les conciliaires conservateurs ont bien conscience du fait que le successeur de François rique fort d'être un continuateur, éventuellement plus conciliateur et temporisateur que François, du bergoglionisme.
Bonne journée.
Scrutator.
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