Rebonjour,
Vou avez bien raison .
J'ajoute ce qui suit.
Vatican II n'est pas un concile porteur de définitions assorties de condamnations, dans le domaine de la dogmatique, ni un concile porteur de régulations assorties de sanctions, dans celui de la discipline.
Or il se trouve que les mêmes clercs, qui n'auraient évidemment pas supporté un concile Vatican II qui aurait été disciplinant ou dogmatisant d'une manière tridentine, confèrent à ce concile une autorité, une importance, une influence non seulement considérables, mais aussi non négociables.
Pour eux, la dynamique que Vatican II a autorisée ou rendue possible fait manifestement bien plus autorité que les dogmes catholiques et les vertus chrétiennes, tels que celles-ci et ceux-là peuvent et doivent être compris, quand on les prend pleinement au sérieux, d'une manière un tant soit peu propice à la vigilance voire à la résistance ad extra, face à une évolution des mentalités qui n'est pas d'inspiration chrétienne ni même d'inspiration humaniste.
Rien que cela, je répète, RIEN QUE CELA, devrait nous mettre en vigilance sur l'ampleur et la portée du caractère contre-nature du concile Vatican II, non seulement par rapport à bon nombre de conciles antérieurs, mais aussi en tant que concile non avant tout oecuménique, mais avant tout oecuméniste, ce qui n'est pas la même chose.
Et le simple fait que fort peu de catholiques réfléchissent d'une manière un tant soit peu approfondie sur l'aspect des choses évoqué ci-dessus en dit assez long sur le coma mental, ou sur l'hébétude inclusive, qui sévit aujourd'hui.
Bonne journée.
Scrutator.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !