Pas vu où il y avait distinction entre les trois ordres (selon ce que j'ai retenu de votre message précédent).
Si c'est deux, à savoir le naturel et le surnaturel, ok.
Mais cela reste pour moi basique, et naturel.
Où est-il traité de la question : ne laissez pas César empiéter sur Dieu ? Ne faites pas dépasser l'image à César sur l'image de Dieu que l'homme est, ou doit devenir, transmettre, donner à aimer ?
Penser surnaturel d'abord, premier, primordial, essentiel (notre essence) est le juste ordre des choses.
Chaque geste de Marie est surnaturellement accompli = ac-complet, entier. Elle est une, non séparée de Dieu, jamais. Parce qu'elle pose le service de Dieu comme premier, comme principe de toute sa vie, de chaque respiration de sa vie.
Partir de César, pour dire, ensuite nous, par nos efforts ou notre disponibilité montons à Dieu n'est pas correct.
Certes, nous naissons dans une famille, dans un contexte qui nous imbibe, et s'il est sain et bon, il porte à un amour de Dieu, qui est "naturel" en quelque sorte.
Certes, il faut un acte conscient et libre pour choisir que Dieu nous prenne, par sa grâce, pour nous faire changer de regard sur notre vie : nous mettre dans le même sens que Marie, (ou que Ste Thérèse après sa grâce de Noël, ou d'autres saints retournés comme un gant) : cela est réellement surnaturellement vivre.
Mais il me semble que ce n'est pas de ce niveau, individuel, que vosu parliez. Me trompè-je ?
C'est ce sens de vie dont j'ai soif.
Pas de discussions ras de terre sur les systèmes d'administration.
Suis-je plus claire ?
Glycéra
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