Je me sentirais un peu cuistre de tenter de répondre à la première, c'est au dessus de mes moyens, mais que d'autres n'hésitent pas s'ils le peuvent.
Pour la deuxième, il me semble que l'acte ayant eu lieu (hélas) sans que sa finalité naturelle soit alors empêchée, la douche en question est-elle ensuite à proprement parler contraceptive ?
Si toutefois oui, nous aurions donc des moralistes qui justifient la contraception. J'avoue que cela m'échapperait.
Vous-même, pensez-vous que l'acte charnel change de nature dès lors qu'il n'est pas consenti ?
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