En ce qui concerne l'usage du préservatif par les homosexuels, je ne suis pas convaincu que cela ajoute un désordre supplémentaire à leurs actions puisque dans leur cas le préservatif n'a pas d'effet contraceptif.
Lorsqu'un relation sexuelle est privée de dimensions unitive et procréative, je ne pense pas que l'on puisse condamner l'usage du préservatif.
Reprochera-t-on à un violeur en série d'utiliser un préservatif qui prive de ses dimensions unitive et procréative les relations charnelles qu'il impose à ses victimes ?
La preuve de cela c'est que les moralistes permettent à une femme qui a été violée de faire une douche vaginale pour éviter une conception. Cette action serait peccamineuse dans le cadre du mariage, elle ne l'est pas dans le cadre d'une union privée de sa dimension unitive.
Pensez-vous qu'une femme sur le point d'être violée qui supplierait celui qui la violente d'utiliser AU MOINS un préservatif, commettrait une faute ?
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