Donc si on applique votre manière de voir à l'exemple de la femme sur le point d'être violée par un toxicomane HIV positif, on en conclut qu'elle ne peut même pas le supplier d'utiliser au moins un préservatif pour sauver sa vie ?
Et quid des moralistes qui autorisent une femme violée à se faire une douche vaginale ? Cela ne fait-il pas obstacle à "la finalité normale et naturelle" de l'acte charnel qu'elle a subi ?
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