et pas des agents des services secrets allemands.
Le noeud de l'affaire tient bien à la rivalité austro-hongroise et serbe. Déjà la question de la Bosnie-Herzégovine était source de tensions.
Sans le changement dynastique serbe et une politique qui cherchait bien à fédérer, pas forcément avec leur accord, les Slaves du Sud d'un côté, les fragilités de l'empire austro-hongrois, qui auraient pu être surmontées toutefois comme l'archiduc assassiné, héritier des deux couronnes le voulait, ou selon une forme de fédéralisation déjà à l'oeuvre dans la Cisleithanie (partie autrichienne) de l'autre, le conflit mondial qui a détruit l'Europe et a rebondi plusieurs fois ensuite n'aurait pas eu lieu.
Oui il y avait un parti belliciste en Allemagne, en Russie, en France et d'abord en Autriche-Hongrie. Ils ont joué chacun leur partition.
Berlin, Saint-Pétersbourg et Paris, Londres aussi, ont joué un rôle mais pas au premier plan.
Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel.
Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici.
D'avance, merci !