comme celui des préfaces également.

Toutefois, historiquement, la lecture de l'épître et de l'évangile au cours de la messe n'ont il me semble jamais eu la prétention de former une lecture suivie des Ecritures en entier pour les fidèles.

S'il y avait un office qui devait avoir cette dimension, ce serait plutôt celui des matines.

D'ailleurs, si on était dans ce souci, quel sens y a-t-il à lire quatre fois le récit de la Passion durant la Semaine Sainte (à ce propos, les défenseurs de la réforme de Pie XII n'ont sans doute rien à redire au fait que le récit de l'institution de l'eucharistie n'est jamais chanté de toute l'année dans ce qui constitue aujourd'hui la "forme extraordinaire) ? Par ailleurs, pourquoi lit-on l'évangile dans le désordre : pendant l'Avent la prédication de Jean-Baptiste, puis le récit de la Nativité, puis le baptême et les noces de Cana, puis la présentation de l'enfant Jésus au temple ?

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